SALES & PROSPECTION USA

Le marché américain de l’AutomotiveTech représente 284 milliards de dollars selon McKinsey Global Institute. Pour les startups françaises du secteur, c’est l’eldorado. Et pourtant, 85% échouent dans leurs premières tentatives d’expansion. Pourquoi cette hécatombe ? Parce qu’elles sous-estiment les spécificités culturelles et réglementaires du marché automobile américain. Les États-Unis ne sont pas l’Europe. Ici, l’approche […]

Le marché SportsTech américain pèse 73,7 milliards de dollars en 2024 selon Grand View Research, mais seulement 3% des innovations françaises y percent. Cette statistique me fait grincer des dents. Non pas parce qu’elle est fausse, mais parce qu’elle révèle un gâchis monumental. La France regorge d’innovations sportives brillantes : de l’analyse biomécanique aux plateformes

L’immobilier américain représente 27% du PIB américain, soit 6 000 milliards de dollars. Pourtant, moins de 3% des PropTech françaises réussissent leur expansion outre-Atlantique. La raison ? Elles appliquent les mêmes codes qu’en Europe sur un marché radicalement différent. Selon NAR Tech Edge, 73% des professionnels immobiliers américains adoptent de nouvelles technologies chaque année, contre

Vos case studies génèrent de l’admiration en France mais du silence aux États-Unis ? Normal. Le problème n’est pas la qualité de vos réussites clients. C’est votre façon de les raconter. Les case studies françaises suivent des codes narratifs européens : contexte détaillé, analyse méthodologique, réflexion approfondie. Très appréciés ici, mais qui tombent à plat

Hier, j’ai reçu un message qui m’a fait bondir : “Christina, on vient de rater un deal de 500K$ aux États-Unis. Notre commercial français a dit au prospect américain : ‘Prenez le temps de réfléchir, on n’est pas pressés.’” Eh ben… ça, c’est exactement le genre d’erreur qui coûte cher. Selon une étude McKinsey 2024,

Ma première conférence à San Francisco… J’avais tout faux. Costume français impeccable, business cards format européen, et une approche “polie” qui m’a fait passer totalement inaperçue. Le networking américain n’est pas du networking français avec de l’anglais. Harvard Business Review révèle que 68% des professionnels détestent le networking… mais 85% reconnaissent que c’est essentiel pour

“What gets measured gets managed” – ce mantra américain s’applique parfaitement à la satisfaction client. Aux États-Unis, 89% des entreprises B2B réalisent des enquêtes satisfaction trimestrielles vs 34% en France selon Bain & Company. Cette différence n’est pas anodine : elle reflète une culture business obsédée par la mesure continue de la performance. Mais attention

“What gets measured gets managed” – ce mantra américain s’applique parfaitement à la satisfaction client. Aux États-Unis, 89% des entreprises B2B réalisent des enquêtes satisfaction trimestrielles vs 34% en France selon Bain & Company. Cette différence n’est pas anodine : elle reflète une culture business obsédée par la mesure continue de la performance. Mais attention

Quand j’analyse les campagnes ABM de mes clients français, je vois systématiquement le même pattern : des messages parfaitement adaptés au marché européen qui génèrent… 1,2% de taux de réponse aux États-Unis. Même budget, même ciblage, même expertise produit. La différence ? Les erreurs culturelles invisibles qui sabotent 89% des campagnes ABM françaises outre-Atlantique. Selon

“J’ai raté trois deals importants parce que j’ai mal calculé les fuseaux horaires américains.” Cette confession d’un client me revient souvent en mémoire quand je vois des entrepreneurs français galérer avec les time zones US. Gérer les fuseaux horaires n’est pas qu’une question d’organisation – c’est un avantage concurrentiel. Les entreprises qui maîtrisent cette logistique